Pourquoi voter pour moi?

Jour­nal de cam­pagne de Corinne Farquharson

Can­di­date d’Echallens Autrement pour la Munic­i­pal­ité, liste 2

Jeu­di 18 mars

L’autre jour, j’ai reçu un sms d’Isabelle Favre de L’Echo du Gros-de-Vaud qui invi­tait les can­di­dats au deux­ième tour à répon­dre à la ques­tion «Pourquoi vot­er pour moi?» en 100 signes max­i­mum. Dans mon ent­hou­si­asme, ce n’est pas 100 signes que j’ai écrit mais une cen­taine de mots (!). Qu’à cela ne tienne, je n’allais pas les laiss­er s’envoler, autant vous les servir à l’occasion de mon jour­nal de cam­pagne, cela com­plètera la phrase que vous lirez dans L’Echo.

Au-delà du fait que j’incarne le change­ment, que j’ai la volon­té de faire de la poli­tique et de gou­vern­er autrement, j’ai déjà l’expérience d’une lég­is­la­ture au Con­seil com­mu­nal ain­si qu’une par­tic­i­pa­tion à une com­mis­sion per­ma­nente, l’ASIRE. Poly­va­lente et habituée à men­er de front plusieurs pro­jets simul­tané­ment, je suis tout à la fois con­ciliante et déter­minée. J’aime la cohérence et je suis à l’écoute des autres.

Si je suis élue à la Munic­i­pal­ité, j’aimerais être une facil­i­ta­trice en vue de la mise en place d’une struc­ture pour aider les jeunes qui sont en tran­si­tion entre école et monde pro­fes­sion­nel. Une struc­ture qui s’adresse aux jeunes mais égale­ment à leurs par­ents sou­vent dému­nis lorsque leur enfant n’est pas «for­maté» gym­nase et peine à trou­ver sa voie. Dans un bourg en passe de devenir une petite ville, en péri­ode de pandémie où beau­coup de jeunes ont per­du leurs repères et la moti­va­tion, dans un pays qui offre une mul­ti­tude de choix au point où on en perd le fil, il me sem­ble impor­tant de pro­pos­er une telle struc­ture. Moudon a la sienne, pourquoi pas Echallens?

Echallens Autrement